En regardant les différentes étapes de l’évolution de l’électroculture à travers les siècles, il semble clair que le rapport entre électricité et nature pourrait porter ombrage aux industries productrices de produits phytosanitaires chimiques.
Mais que recouvre ce terme d’électroculture ? Si l’on prend la définition dans Wikipédia, on constate que les personnes qui ont écrit la définition orientent d’entrée de jeu les recherches vers la pseudo-science, ce qui classent définitivement les techniques qui en résultent, dans les oubliettes. La définition de pseudo-science est celle-ci : « est une discipline qui est présentée sous des apparences scientifiques ou « faussement attribué[e] à la science », mais qui n’en a pas la démarche, ni la reconnaissance. Elle se situe en opposition à la science. » Il y est même dit qu’il y a tromperie. S’il fallait s’arrêter à la définition de wikipédia, l’électroculture serait morte-née très rapidement.
La définition la plus actuelle détermine bien ce qu’est l’électroculture : » l’électroculture regroupe un ensemble de techniques utilisant les courants électriques atmosphériques et telluriques, les rayonnement cosmiques et le champ magnétique terrestre afin de stimuler la germination, la croissance et le développement des plantes« . (1)
Quand la nature dérange…
Pour répondre aux « étroits d’esprits » qui ont autorité universelle pour écrire les âneries de Wikipédia, pas moins de 450 scientifiques et chercheurs se sont penchés sur les questions de l’apport des énergies libres depuis le XVIIIe siècle. Parmi ces personnages, on peut citer Volta, Tesla, et même en Belgique, Ernest Solvay. (2)
Certains chercheurs comme Justin Christofleau ou Georges Lakhovsky ont été écartés parfois avec violence de leurs universités ou de leurs laboratoires par « accident » en vue de les décourager définitivement de continuer à travailler dans leur domaine. Il en a été de même avec la biodynamie. C’est exactement la même chose à l’heure actuelle, avec ceux qui veulent utiliser des semences paysannes reproductibles ou des produits naturels comme le purin de consoude. Les lobbies chimiques ne tolèrent en aucun cas, l’utilisation de techniques autres que les leurs ! Les « étroits d’esprits » aboient avec les loups !
Il est temps que cela cesse
Comment faire cesser la chasse aux sorcières. Les techniques d’électroculture sont basées sur la science, sur ce qu’elle est capable de mesurer, d’une part, et sur les connaissances des anciens, d’autre part. Cette démarche est celle de la pré-science ou de la science expérimentale. Il est temps d’ouvrir à nouveau les portes des connaissances verrouillées à travers les âges sous prétexte qu’elles ne correspondaient pas aux recherches académiques. Tous les scientifiques qui participent aux avancées de la science, expérimentent dans des domaines inconnus ou parfois trouvent des solutions « par accident » ou « par hasard ». Il en va de même de l’électroculture.
Les praticiens de l’électroculture, actuellement, ne sont pas assez rigoureux dans les découvertes qu’ils réalisent. Il est temps de noter les résultats de nos recherches comme l’a fait d’ailleurs Martine Queyrel, dans son doctorat sur l’impact de l’électroculture sur la production des huiles essentielles à l’université de pharmacologie d’Angers. Malheureusement son travail a été interdit de publication tant ses résultats dérangeaient la Faculté !
Recherches chez Pas à pas
Pas à Pas travaille, depuis 2016, avec de l’électroculture dans son potager, il est temps donc d’être, plus rigoureux dans nos recherches.
Nous avons déjà installé les appareillages suivants :
- Divers anneaux oscillants de Lakhovski
- Trois antennes type paratonerre au-dessus de la serre
- Une antenne de Panazol sur un nœud Hartmann.
- Deux tours d’énergie avec basalte paramagnétique
- Une spirale, du basalte et du quartz dans le goutte à goutte
- Une pyramide dans le bac 5
- Utilisation d’une pyramide pour dynamiser les semences et la germination
- Diverses spirales aux pieds de plantes
- Un tipi sous électroculture et spirales
- Les cintres du professeur Lagrange
- Une pyramide dans le bac 3 en vue de vérifier si les ondes de forme peuvent suppléer le manque de soleil en hiver (en cours).
Nous allons donc systématiquement noter nos observations pour chacune des installations en sachant que d’entrée de jeu, les deux tours d’énergie placent le potager, les poules et les ruches sous leurs influences. Il y a un autre critère permanent à accepter pour fait accompli : La technique agricole de base est la permaculture pour l’ensemble du potager et ce y compris chez les poules.
Je publierai de temps en temps, les résultats de nos recherches en matières d’électroculture, en ces pages. A partir du premier trimestre 2020, un cours avancé en électroculture aura lieu au potager de Pas à Pas.
Géry de Broqueville
(1) Layet Maxence et Werlhen Roland, Electroculture et énergies libres, les bienfaits de l’électricité et du magnétisme naturels pour des cultures écologiques, Le Courriers du Livre, 2014, pg 15.
(2) Ibid page 23.